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Directeur adjoint du centre UNEP-DHI, Danemark

Gareth James Lloyd sur la création d'UNEP-DHI

Gareth est directeur adjoint du centre UNEP-DHI, un partenariat avec le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) visant à promouvoir la gestion durable des ressources en eau. Faisons sa connaissance !

 

Salut Gareth ! Merci de ta disponibilité aujourd'hui. Peux-tu nous en dire un peu plus sur l'histoire du centre UNEP-DHI ? Comment la collaboration entre DHI et UNEP a-t-elle commencé ?

 

Il était une fois chez DHI au début des années 1990, quelques collègues très intelligents qui ont élaboré un concept pour la gestion durable de l'eau, appelé la gestion intégrée des ressources en eau ou GIRE. Lorsque l'UNEP a commencé à travailler sur la GIRE au milieu des années 1990, ils ont contacté DHI pour demander un acompagnement à long terme. Heureusement, DHI a accepté et depuis ce partenariat fonctionne très bien.

 

Aujourd'hui, l'approche de la GIRE pour la gestion de l'eau, née chez DHI, est utilisée par les Nations Unies et tous les pays du monde.

 

As-tu toujours travaillé dans le domaine de l'eau et comment as-tu rejoint la famille DHI, as-tu commencé directement auprès du centre UNEP-DHI ?

 

Bien que j'aie des diplômes en sciences de l'environnement et en politique environnementale, j'ai d'abord travaillé comme responsable de programme pour Microsoft, puis en tant que journaliste à Londres avant de rejoindre DHI.



Je suis venu chez DHI pour la première fois pour interviewer Torkil Jønch Clausen, le « parrain de la GIRE ». Nous nous sommes très bien entendus, et il m'a proposé un poste. C'est un personnage très inspirant, et nous sommes encore en contact aujourd'hui.

 

Parle-nous d'un projet mémorable auquel tu as participé.

 

Mon projet préféré a été le jeu en ligne de gestion durable de l'eau : Aqua Republica. C'était l'idée de notre ancien collègue, Chengzi Chew. Une des versions que nous avons réalisées a été utilisée lors d'une réunion gouvernementale confidentielle pendant laquelle ont été simulées les conséquences d'une attaque terroriste contre les infrastructures nationales de gestion de l'eau et de l'énergie. Le gouvernement en question a été très impressionné et même très choqué par ces conséquences.

 

Une autre version du jeu a été utilisée pour une compétition scolaire en ligne, qui a impliqué des milliers d'enfants et d'enseignants à travers le monde. Ils étaient vraiment nombreux à adhérer à l'idée et à vouloir donner de leur temps et de leur énergie. C'était une expérience très gratifiante et émouvante.

 

Qu'apprécies-tu le plus dans ton travail chez DHI ?



Facile. Travailler avec des personnes compétentes et bienveillantes, selon une hiérarchie relativement horizontale, où l'accent est mis sur la résolution des défis qui nous sont proposés et l'envie de se rendre utile au monde.

 

Peux-tu nous révéler une anecdote à ton sujet, que personne chez DHI ne connaît ?



J'adore l'Inde et par une série de pures coïncidences, j'ai fini par obtenir un petit rôle de méchant dans un film de Bollywood. Ma scène principale était un combat de Kungfu avec le héros, pour une querelle au sujet d'une femme. J'ai montré le film à mes enfants en pensant qu'ils seraient impressionnés, mais ils sont restés silenceux, puis m'ont juste dit que la scène était vraiment bizarre.



Et pour info, j'ai perdu le combat et le héros est arrivé à ses fins... mais ça s'est joué à peu de choses !

 

Complète cette phrase : si je pouvais faire n'importe quel travail dans le monde, je voudrais être...



Quelque chose comme vlogger de cyclotourisme à travers le monde, créateur d'une plateforme d'investissements verts, attaquant pour le club de foot d'Everton ou gérer une entreprise de rénovation de bâtiments historiques dans le sud de la France.



Si je dois choisir quelque chose de plus proche de ce que je fais maintenant, je dirais un travail qui me donnerait l'occasion de promouvoir une gestion durable de l'eau à plus grande échelle et avec une plus grande visibilité. Je suis très passionné par ce que nous faisons.



Si aucun de ces emplois n'est possible, je serais heureux de me contenter d'un rôle de héros séduisant dans un film de Bollywood ! Haha.

« Qu'apprécies-tu le plus dans ton travail chez DHI ? Facile. Travailler avec des personnes compétentes et bienveillantes, selon une hiérarchie relativement horizontale, où l'accent est mis sur la résolution des défis qui nous sont proposés et l'envie de se rendre utile au monde. »

Gareth James Lloyd

Directeur adjoint du centre UNEP-DHI, Danemark

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